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  • Photo du rédacteurGérald

Oyez - Oyez !

Bonsoir les ami(e)s,

Encore une belle journée sous le 7e Ciel, avec un très bel article de La Nouvelle République, que nous remercions au passage.

Le roman poético-initiatico-philosophique "On ne peut dans sa main garder l'oiseau qui bat des ailes" de Valéry Sauvage a déjà conquis quelques lectrices et même lecteurs ;-) depuis sa sortie en septembre dernier.














Voici l'article du 16/11/2020 - La Nouvelle République


Valéry Sauvage signe un nouveau roman


Publié le 16/11/2020 à 06:25 | Mis à jour le 16/11/2020 à 06:25

Dans sa dernière publication, Valéry Sauvage raconte le cheminement de la jeune Sara.


Après la poésie, les contes pour enfants et le polar, Valéry Sauvage propose un conte philosophique : une jeune fille quitte la montagne pour voir la mer.


En cette période de vie culturelle quasi réduite au silence, la littérature est un moyen de lutter contre la morosité qui semble bien gagner du terrain. Il y a ceux qui la lisent et ceux qui l’écrivent.

Valéry Sauvage, de Saint-Léger-de-la-Martinière, partage son temps entre musique, photo et écriture. « Je suis venu plus sérieusement à l’écriture quand je suis tombé malade. J’ai été arrêté pendant une longue durée et j’avais donc du temps disponible. Auparavant, j’avais déjà écrit des contes pour les enfants, en auto publication. » Une formule qu’il trouvera peu satisfaisante, les prochains seraient confiés à un éditeur. Encore fallait-il le trouver.

L’écriture est parfois la partie la plus facile du travail d’écrivain. La première « vraie » production sera un polar, Rue Blondel, paru en 2018. « Je l’avais proposé à un éditeur toulousain qui n’en a pas voulu, puis à un éditeur parisien qui a sauté dessus. » C’est en écoutant une émission de radio que l’auteur mellois prendra connaissance de cette maison d’édition. Le manuscrit, adressé par mail, recevra une réponse deux jours plus tard. « Nous nous sommes rencontrés et j’ai retravaillé le texte. Au final, le livre n’est pas un succès de librairie mais les retours sont bons. » Suivra un roman jeunesse, Le Gardien du rêve.


« Une histoire parfois dure »

La troisième publication est totalement différente. À la fois conte philosophique et roman initiatique, destiné à un public adulte. « Ça n’est pas vraiment de la philo, je ne suis pas philosophe dans le sens académique du terme. C’est entre la méditation et la philosophie. C’est une idée que j’avais depuis longtemps, inspirée les romans de Hermann Hesse que j’ai lus étant ado. L’autre idée était aussi de partir du Petit Prince qui rencontre des archétypes dans son cheminement. » Le livre raconte l’histoire de la jeune Sara. « C’est une jeune paysanne de la montagne. Elle voit la mer depuis sa montagne et elle décide d’aller la voir. Elle va découvrir le monde et rencontrer toutes sortes de gens, et elle fera son éducation ainsi. »

S’il met en scène une enfant, le livre s’adresse plutôt aux adultes. « C’est une histoire parfois dure. Ça reste lisible par tous mais ça n’est pas de la littérature jeunesse. »

Quant au style, Valéry Sauvage le définit comme de la prose poétique. « Écrire en alexandrin est trop difficile, je ne suis pas Victor Hugo. Par contre, je voulais une scansion dans le texte, qu’il soit rythmé même sans être rimé. »

Pour la suite, les idées sont là. « J’ai un stock de six ou sept écrits mais je cherche des éditeurs. J’écris ce que j’ai envie de dire, sans chercher à répondre à une demande. Je n’attends pas après ça pour vivre, l’important est pour moi d’écrire ce que j’ai sur le cœur. »


« On ne peut garder dans sa main l’oiseau qui bat des ailes », de Valéry Sauvage, aux éditions 7e Ciel. 15 €. Le livre est disponible au Matoulu et peut être commandé dans toutes les librairies.


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