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  • Photo du rédacteurGérald

Le Maroc, à l'affiche, et désormais disponible !

Bonjour les ami(e)s heptacélestes,

Notre collection s'élargit peu à peu et la couverture géographique du 7e Ciel prend en même temps de l'expansion. Après le Mali avec Amassolou Guindo, la Pologne avec Elzbieta Beaujard, le Niger avec Isabelle Malowé, le Mexique et la Californie avec G.F. Spencer, le Sinaï et le Vatican avec Joël Macron, c'est le Maroc qui est désormais à l'honneur à travers deux ouvrages : Le Muet de Hamza Marzak et Ces choses qui meurent et fleurissent de notre regretté Abderrazak Bahraoui.



Deux univers très différents, mais aux points communs indéniables : l'insondable culture des deux auteurs, leurs plumes très agiles et leurs irrésistibles gouailles, que je qualifierais presque de nationales.

Bref, vous l'aurez compris : de très agréables moments de lecture en perspective.


Hamza Marzak - présentation :

Né en 1963 et d’origine marocaine, l’ingénieur Hamza Marzak est Maitre Praticien en programmation neurolinguistique (PNL). Il a animé plusieurs conférences sur le développement personnel et le pouvoir créatif de l’individu. Habité par le questionnement de la culture marocaine et arabo-musulmane en général, il étudie son impact sur la façon de penser de l’individu et ses conséquences. Ce n’est qu’à l’âge de cinquante ans qu’il choisit de se consacrer à l’écriture de son premier roman : « Le Muet ».



Abderrazak Bahraoui - présentation :

Abderrazak Bahraoui est né en 1949, à Fedala, devenue Mohammedia, au Maroc. Après un long parcours au sein de la fonction publique, l’auteur, féru de littérature, se consacre à l’écriture, sa véritable passion. Il publie en 2008 son premier roman : « Fedala, mon ailleurs ». Abderrazak nous a malheureusement quittés le 7 mars dernier. Paix à son âme.








Le Muet - 4e de couverture :

Saad – Espoir d’une femme dans la culture marocaine – quitte le Maghreb en direction de l’Orient dans le but de devenir une star de la chanson. Ainsi se profile son aventure à travers l’immensité et la profondeur de la culture arabo-musulmane.

Au fil de son parcours, les dessous d’une organisation se dévoilent, apportant un autre regard sur le soufisme et le djihad.

Fruit de quatre années de documentation, ce roman nous emporte au sein de cultures séculaires, riches de leurs forces et de leurs contraintes, pour en explorer leurs soubassements et les remettre en question.


Ces choses qui meurent et fleurissent - 4e de couverture :

Melilla… ou plutôt, non : Farkhana ; ce n’est pas très loin, il suffit de franchir les barbelés. La première, en territoire espagnol, représente l’échappatoire, la porte qui s’ouvre vers des destins imaginaires. La seconde, c’est la zone, le lieu de tous les questionnements, de tous les mélanges. Un jour, dans l’estomac d’une vache, une découverte : une clef USB, un manuscrit, un roman ; celui d’un couple, celui d’une vie, celui d’une fabuleuse histoire des Hommes…


Vous l'aurez compris, un total dépaysement, de l'humour, de la culture, de la belle littérature. Les illustrations de couverture sont de G.F. Spencer (pour Le Muet) et de Sacha Vausort (pour Ces choses qui meurent et fleurissent).


Merci !


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