Bonjour les ami(e)s heptacélestes,
Les événements en Ukraine — par lesquels nous, les éditions 7e Ciel, sommes indirectement impactés — nous ont éloignés pendant quelques jours de nos activités d'édition, vie et famille ayant naturellement priorité sur notre passion. Soyez sans inquiétude, tout va bien au sein de nos proches ; nous avons pu rétablir le contact via des "canaux parallèles" ; vive la technologie dans ces moments compliqués !
Voici donc l'annonce, avec un léger décalage (jour J+2), de la sortie du premier ouvrage de notre nouvelle collection :
Intitulé "Le sens des trois mythes — Moires - Charites - Muses", cet ouvrage nourrira les esprits curieux et les guidera dans un monde où psychanalyse et mythologie n'ont plus de secrets. Attention, c'est du très haut vol 😉 !
Quatrième de couverture :
Les Moires, les Charites et les Muses sont trois groupes de divinités dites mineures de l’Olympe, dont les récits dominants ont marqué notre histoire. Le sens de la vie se dévoile à travers un échange perpétuel entre les Moires, qui désignent l’importance de la nécessité ; les Charites, qui indiquent sa fonction dans la nature ; et les Muses, qui la portent en mots à travers leurs chants. L’objet de cet ouvrage est de vous faire découvrir de quelle façon les rôles de ces trois mythes s’articulent au cours de la vie.
Présentation de l'auteure :
Efi Papavassilopoulou est née à Athènes, lieu majeur de sciences et d’histoire, où elle a aussi accompli ses études médicales. Formation complétée plus tard d’une spécialisation en psychiatrie à Paris. Elle a exercé en France en tant que psychiatre des hôpitaux, praticien hospitalier. Psychanalyste de formation et de passion, elle a publié une vingtaine d’articles dans des revues scientifiques de sa discipline et est intervenue lors de nombreux congrès scientifiques. Elle a également fait partie des sociétés savantes « Art et Thérapie ». Elle a, à ce jour, écrit cinq livres. Sa réflexion est influencée par Freud, Lacan, Heidegger, Aristote, Platon...
Liens utiles :
La collection
Pourquoi Litha ? me direz-vous...
"On aime ou l'on admire ce que l'on comprend, l'inconnu inquiète autant que le vide effraie..."
Nul ne pourrait contredire cet adage, lequel pourrait se compléter par "comprends avant de juger" ou encore "je t'aime car tu me respectes".
Car dans le respect vit la tolérance, et dans la tolérance s'inscrit la connaissance. Connaître, et surtout comprendre, passe par la curiosité.
Nous, les éditions 7e Ciel, désirons satisfaire nos curiosités et nous projeter dans d'autres dimensions, dans des univers parallèles, fruits de nos esprits et bâtisseurs de nos âmes, de nos rêves, et de nos passions.
Le 12 mars 2022 est donc née Litha, une nouvelle collection dont les axes principaux tourneront autour des sujets passionnants que sont la mythologie, la théologie, la psychologie, les sciences occultes et les cultes païens.
Voici une courte présentation empruntée à Wikiwand, que je remercie en passant :
Litha est une fête païenne (et wicca). C'est le solstice d'été, l'opposé de Yule, c'est aussi le jour le plus important de l'année pour les anciens cultes solaires.
Son nom apparaît dans le De temporum ratione de Bède le Vénérable où il donne les noms anglo-saxons des mois. C'est le jour le plus long de l'année. Cette période serait propice à la magie et à la guérison, la protection, l'amour... Dans le calendrier des fêtes de la wicca il existe quatre sabbats majeurs – Samhain, Imbolc, Beltaine et Lugnasadh –, et quatre sabbats mineurs aux solstices et aux équinoxes – Yule ou solstice d'hiver, Ostara ou équinoxe de printemps, Litha ou solstice d’été, et Mabon ou équinoxe d'automne.
Traditionnellement, les mages récoltent les herbes magiques en cette journée qui est aussi la plus longue de l'année. Litha correspond à la fête de la Saint-Jean pour les chrétiens. C'est aussi la fête de la renaissance et de la fertilité.